Le mot vietnamien "quan ôn" se traduit littéralement par "génie des épidémies", et il fait référence à une entité ou un esprit que certaines personnes croient capable d'influencer la propagation ou la cessation des maladies. Ce terme est souvent utilisé dans le contexte de superstitions et de croyances traditionnelles.
Dans la culture vietnamienne, "quan ôn" est souvent mentionné lors de rituels ou de prières pour demander la protection contre les maladies. Les gens peuvent faire des offrandes ou prier devant une image de ce génie pour se protéger des épidémies ou pour demander la guérison.
Une phrase simple pourrait être : "Les villageois prient le quan ôn pour se protéger des maladies pendant la saison des pluies."
Dans un contexte plus avancé, on pourrait discuter de la manière dont "quan ôn" s'intègre dans les pratiques culturelles et religieuses vietnamiennes, par exemple : "Dans les temps de crise épidémique, les rituels pour honorer le quan ôn deviennent plus fréquents, reflétant la peur et l'espoir de la communauté."
Il n'y a pas de variantes directes très courantes du terme "quan ôn", mais on peut entendre des expressions liées à la santé et aux croyances, comme "thần y" (médecin divin) qui évoque une figure protectrice en matière de santé.
En dehors de son sens premier, "quan ôn" peut aussi symboliser une peur collective face à une épidémie, représentant ainsi le besoin humain de recherche de protection mystique contre l'inconnu.
Il n'y a pas de synonymes directs pour "quan ôn" dans un sens strict, mais des termes comme "thần linh" (esprit divin) ou "thần" (dieu) peuvent être utilisés dans des contextes similaires pour désigner des entités protectrices.